Simplify 3d, Couche

Paramètres de couche,

Extrudeuse principale, pour la simple extrusion, il n’y a qu’un choix. Pour l’extrusion multiple, il faut ici choisir l’extruder pour les couches extérieurs (contour, inférieur est supérieur )

Hauteur de la couche principale, épaisseur de la couche imprimé.

Ce qu’il faut savoir ici:

  • L’idéal est de rester entre 20 et 80% du diamètre de la buse. Ceci permet d’avoir une bonne adhésion entre les couches et évite les problèmes d’extrusion (extruder qui claque ou qui bouche)
  • plus la couche est mince
    • plus l’impression sera longue
    • plus l’impression sera belle
    • plus les surplombs seront beaux (les « marches » seront plus minces, donc plus supportées)
    • moins de transparence (dans le cas de filament clair)

Paramètre de la première couche,

Le but de cette section est d’aider l’adhésion à la surface du lit.

  • Hauteur de la première couche, l’utilisation d’une première couche plus épaisse aidera à compenser pour les inégalités du lit.
  • Largeur de la première couche, en augmentant son épaisseur, l’adhésion devrait être meilleur.
  • La vitesse de la première couche, toujours dans le but d’aider la tenue sur la surface du lit. Ralentir la vitesse n’est pas vraiment une option pour avoir un beau départ d’impression.

Point de départ,

Ce qu’il faut savoir ici, c’est que le point de départ est plus ou moins visible, mais toujours là. En utilisant le bon paramètre, on peut en diminuer l’impact visuel.

  • Utiliser des points de départ aléatoires pour tous les périmètres, c’est l’option qui distribuera les points de départ un peu partout et qui aura le moins d’impact visuel. Par contre c’est souvent celui le plus long à imprimer.
  • Optimiser les points de départ pour la vitesse d’impression la plus rapide, ayant pour seul but d’avoir une vitesse d’impression rapide. Avec un impact visuel modéré, le résultat sera souvent des petits groupes de points de départ groupés visuellement.
  • Choisir un point de départ au plus près de l’emplacement spécifique, cette option alignera les points de départ selon une coordonné XY. L’impact visuel est la plus grande, mais permet souvent de les placer à un endroit où ils ne seront pas apparents.
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Impression 3d, la hauteur de couche

On néglige souvent ce paramètre. Souvent quand on commence en impression 3d, on choisit une épaisseur et on ne la remet pas en question. Pourtant, elle a une importance capitale sur plusieurs aspects de la qualité d’impression.

Si vous imprimez de petites pièces, par exemple des figurines, l’utilisation de 0.1mm est un bon choix. Par sa grosseur, la figurine qui prend une heure à imprimer en 0.2mm, prendra deux heures à imprimer si vous passer à 0.1mm. Par contre, si vous imprimez le gros buste de Deadpool à 0.2mm et que le temps total d’impression est de 22h. Si vous passez à 0.1mm, le temps passera à 44h avant d’avoir votre rendu final. Ce qui est, comment dire, plus tôt long.

  • Une bonne pratique est de rester entre 20 et 80% du diamètre de la buse. Ceci permet d’avoir une bonne adhésion entre les couches et évite les problèmes d’extrusion (extruder qui claque ou qui bouche)
  • Impact sur l’impression, plus la couche est mince;
    • plus l’impression sera longue (à 0.1mm, l’impression sera deux fois plus longue qu’à 0.2mm)
    • plus l’impression sera belle (surtout en terme de précision)
    • plus les surplombs seront beaux (les « marches » seront plus minces, donc mieux supportées)
    • moins de transparence (dans le cas de filament clair)

Note; Certaines épaisseurs causent des problèmes de qualités. Pas par l’épaisseur elle même, mais par le calcul mathématique que le micrologiciel (firmware) fait avec le mouvement des Z et l’épaisseur demandé. Ce cas est rare et concerne que quelques modèles d’imprimantes.

La lithophanie

La lithophanie n’est pas compliqué en soi. La base c’est de transformer une image 2d, la plus part du temps une photo, en fichier 3d. Par la suite l’imprimer de façon à ce que la lumière passe au travers pour en dévoiler la photo.

Pour commencer, il vous faut du filament pas totalement opaque, blanc idéalement, mais la couleur fait aussi. J’ai obtenue de bons résultats avec un filament blanc soie ou « silk », qui à la base n’est pas super opaque. Si toute fois vous voulez tester avec du filament opaque, il faut amincir votre lithophanie.

Par la suite il vous faut une photo ou une image à faire en lithophanie. Si vous pouvez la convertir en tons de gris avant la transformation 2d vers 3d, c’est l’idéal.

J’utilise ce site web suivant pour la conversion. Il en existe plein d’autres, mais le principe est le même.
3dp.rocks/lithophane

L’importation est simple, vous choisissez l’image avec le bouton Images et sélect. fichiers.

3dp.rocks/lithophane

Ce qui vous devrait vous donner quelque chose du genre après quelques instants.

Vous pouvez aussi changer la forme de votre lithophanie.

Pour la suite c’est avec le bouton settings et model settings ou image settings

Il vous faudra trouver les bons ajustements pour votre image, votre filament, votre imprimante et le produit final que vous voulez obtenir. Oui par vous même, je vous donnerai pas tout cuit dans le bec :p

Une fois que la conversion est à votre gout, il faut faire download, pour avoir votre .stl.

Le reste de ce qu’il faut savoir c’est qu’il faut imprimer le .stl à la verticale avec une bordure de cinq tours minimum (plus l’image est haute, plus on en ajoute). L’image à la verticale n’a pas beaucoup de contact et peut décrocher du lit pendent l’impression, voilà pourquoi la bordure. Pour info sur la bordure, voir ici. Si vous imprimez la lithophanie assez épaisse pour avoir un remplissage, vous devez utiliser zéro ou 100% de remplissage. De cette façon, vous n’aurez pas d’interférence sur la lumière par votre remplissage.

Ça devrai ressembler à ça.

prévisualisation du produit final

Merci à Alex Danis pour l’idée de l’article.

L’achat de filaments

Je me souvient quand j’ai commencé l’impression 3d, il y a plus de cinq ans. Les imprimantes étaient beaucoup moins abordables pour moins de qualités. Le choix de filament était beaucoup plus réduit, les options de fournisseurs au Canada étaient minces et pas toujours gagnants.

Dans le passé, j’ai acheté des filaments moins dispendieux (en bas de 15$ la bobine de 1kg) qui m’ont donnés de bon rendement et des bobines trop chère (60$ le 1kg de PLA) qui m’ont franchement déçu.

Oui beaucoup de filaments sont faits en Chine, mais le contrôle de qualité Canadien est pas le même et le service après vente est plus simple.

Ce que je vous conseil, c’est de payer un peu plus pour votre filament, sans payer une fortune. Car souvent, moins le filament est de qualité, plus il est fragile à l’humidité. Par exemple, il cassera si vous le laissez sur l’imprimante quelques heures après l’impression terminé. Et du filament cassé en morceaux de 2 cm dans un tube de PTFE et dans la buse…. c’est pas plaisant du tout.

Je recommande de prendre des fournisseurs du Canada. Ils ont maintenant une très grande variété de filaments et le service n’en sera que meilleur. Si vous voulez économiser le transport, presque tout les fournisseurs l’offrent gratuitement après un certain montant (entre 70 et 250$) ou à un taux fixe en bas de ce montant.

Voici une liste de fournisseurs Canadiens qui offrent un bon rapport qualité/prix (J’ai déjà commandé chez plusieurs d’entre eux et je n’ai aucun commentaire négatif)

Au Québec, il y a ces fournisseurs

Simplify 3d, Extrudeuse

Liste d’extrudeuse,

On y ajoute les extrudeurs désirés, chaque extrudeur a ses propres paramètres.

Aperçu,

  • Index de la tête de l’extrudeuse, correspond à l’identifiant dans le firmware de votre imprimante.
  • Diamètre de la buse, ici on met le diamètre de la buse. Certain vont tricher la valeur de la buse pour corriger des problèmes d’extrusions. Je recommande de garder le diamètre réel de la buse.
  • Multiplicateur d’extrusion, on peut jouer avec la quantité de filament qui sort proportionnellement au débit normal du filament. Il n’y a pas de vérité précise sur le bon chiffre à utiliser, il y a beaucoup de variables, l’extruder, la température d’extrusion, le filament utilisé, etc.
  • Largeur d’extrusion, cette valeur n’est pas claire, à la base le logiciel ne l’explique pas clairement. Je l’explique de la façon suivante; c’est la distance entre les passages horizontaux de la buse.
    • Par défaut pour une buse de 0.4mm le logiciel met 0.48mm ce qui est clairement trop.
    • Toujours pour une buse de 0.4mm, ma recommandation est entre 0.43mm et 0.41mm, le reste c’est a vous de voir.

Le contrôle de l’écoulement, ou oozing et stringing control.

Pour réduire ou enlever les « cheveux d’ange », la température, la distance de rétraction et la vitesse de rétraction sont super important.

  • Rétraction
    • Distance de rétraction: un extruder à prise direct aura besoin de moins de rétraction, entre 1 et 3mm. Un extruder Bowden, selon la grandeur du tube de Téflon / PTFE aura besoin entre 4 et 8mm de rétraction voir même dans certain cas 10mm.
    • Distance supplémentaire de redémarrage: cet option est pour compenser le manque (valeur positive) ou le surplus (valeur négative) quand l’extrusion reprend. J’ai été longtemps un fanatique de l’option dans le négatif pour éviter les bosses au changement de couche. Ça marche bien, mais ca cause un autre problème, les impressions de petites section manque souvent de filament.
    • Élévateur verticale de rétraction: cet option est utile si vous voulez éviter que la buse laisse des traces quand elle bouge au dessus de surface et qu’elle laisse une trace.
    • Vitesse de rétraction: c’est souvent le paramètre qui a le plus d’impact. Plus la vitesse et haute plus le filament remontra. Si la vitesse est trop lente le filament aura le temps de s’écouler avant la rétraction. J’utilise la plus part du temps 70 mm/s, mais des valeurs entre 60 et 80 mm/s (tant que le firmware le permet) sont souhaitables.
  • Débrayage à la fin: l’option à pour but de laisser la pression qui c’est accumulé dans le filament de ce libérer avant la fin de l’extrusion. Utile surtout avec les extrudeurs Bowden et/ou le filament flexible.
  • Essuyage de la buse: distance sur laquelle la buse continuera son chemin par dessus le reste de l’impression sans sortir de filament. Aide au contrôle des bosses (blobs)

Impression 3d, le lit cet incompris.

Plusieurs théories et façons de faire sont possibles. Mais à la base un lit, peu importe la surface d’adhésion, doit être plat, sans bulles et au idéalement au niveau. Le PEI, la plaque de verre, le miroir, le ruban de masquage (aka painter tape) ou le prélart de votre grand-mère, la surface doit être propre et sans dépôt. Après, si vous pouvez ajouter du fixatif à cheveux ou de la colle en bâton si c’est votre façon de faire.

Il n’y a pas de mauvaise ou de bonne façon de faire. Il y a seulement la façon que vous préférez. Certain ne jure que par le ruban de masquage depuis des années. Moi je suis un adepte de la plaque de verre et du fixatif a cheveux.

Souvent l’adhésion au lit ne tien pas à grand chose. Souvent un réglage du décalage du Z (Z offset) de 0.02mm plus prêt du lit et tout fonctionne comme sur des roulettes. À vous de faire vos tests

Simplify 3d, les supports.

Les supports c’est pas sorcier, si on peut ne pas en utiliser, c’est de loin préférable. Si non il y a quelques trucs pour s’en sortir. Si vous avez qu’un seul extruder ou plusieurs, le mieux est d’utiliser des supports denses. Il n’y a qu’à activer l’option avec 2 ou 3 couches avec une densité de 70% et plus.

menu support

Section Production de matériau de support,

  • Le crochet, Produit du matériau de support, active les supports
  • Extrudeuse de support, avec un seul extruder la question ne ce pose pas, avec l’extrusion multiple, faire le choix du bon extruder (celui avec le PVA)
  • Supports le pourcentage de remplissage, que ce soit 20, 30 ou 40%, vous aurez tendance à utilisé un pourcentage plus élevé pour avoir des plus beaux dessous de pièces. Jusqu’à ce que… vous découvriez le support dense.
  • Distance d’inflation supplémentaire, c’est la distance permise pour la grandeur du radeau à la base du support
  • Couches de la base du support, c’est le nombre de couches pour le radeau a la base du support (qui aide le support à tenir au lit)
  • Combiner les supports tout les, de façon simple… S3d ne fera qu’un seul passage pour générer le support… L’option ne devrait pas dépasser 1.2 de l’épaisseur de couche. Par exemple, si vous mettez 1 et que votre couche est de 0.2mm, il fera un passage de 0.2mm. Si vous mettez 3, il fera un passage de 0.6mm (couche toujours a 0.2mm), ce qui cause problème si vous avez une buse de 0.4mm. Donc en résumé, on laisse cette option désactivé (à 1) à moins d’un truc bien spécifique.

Section Support dense,

  • Dense Soutien extruder, on devrait lire « Extruder de support dense », dans le cas de la multi extrusion, faite le bon choix d’extruder
  • Couche de support denses, c’est le nombre de couche sur le dessus avec une densité plus élevé, entre 2 et 4 en haut de ça c’est inutile
  • Pourcentage de remplissage dense, entre 70 et 80%, plus haut c’est pas très utile.

Note: Une bonne pratique, avec l’extrusion multiple, est d’avoir le support principal avec le matériel d’impression et d’utiliser le support dense avec l’extruder avec le PVA. Simplement dit si votre filament est d’impression est moins dispendieux que le PVA, il est plus sage d’utiliser moins de PVA.

Section Positionnement automatique,

utilisé seulement en automatique
  • Type de support
    • Normal, la génération des supports sera fait à partir de la pièce ou du lit
    • uniquement à partir de la plateforme de construction (seulement a partir du lit).
  • Résolution du piler de support, c’est la grosseur du pilier en mm. Exemple; si on met 4mm, il formera une colonne avec une base de 4mm x 4mm.
  • Angle de surplomb maximal. Selon vos autres paramètres (épaisseur de couche, filament, températures, vitesse, etc), il faudra faire quelques tests pour bien connaitre votre imprimante. A 0 degré tout est supporté et 90 degrés rien n’est supporté.

Section Distance avec la pièce,

  • Décalage horizontale depuis la pièce, à zéro les supports sont collés sur la pièce…quel cauchemar, impossible à décoller. Par défaut c’est 0.20mm, mais j’ai tendance à mettre 0.3mm ou 0.4mm et ça ce décolle facilement
  • Couches de séparation verticale supérieure, c’est le nombre de couche entre le haut du support et le dessous de l’impression
  • Couches de séparation verticale inférieur, c’est le nombre de couche entre le bas du support et le dessus de l’impression (surtout dans le cas ou les supports sont générés à partir de la pièce et non du lit)

Note: c’est simple, simple extrusion à 1 et multi-extrusion à 0. Je ne vois pas l’utilité de mettre plus que 1 couche entre la pièce et le support, si non quel est l’utilité de mettre des supports?? Avec du PVA, la distance à zéro, le dessous de la pièce est parfait 😉 .

Section Angle de remplissage de support,

Cette section peut avoir l’air inutile, mais détrompez vous. Si votre support est dans le même sens que le dessous de votre impression, le filament sera peu ou pas supporté. Il faut que le support soit en angle avec le dessous de votre impression. De cette façon le filament ne descendra que très peu. Un angle de entre 45 ou 90 degrés est souhaitable entre les supports et l’impression. Je préfère un angle de 90 degrés, mais c’est à votre choix.

Simplify 3d, l’outil Placer la surface sur le lit.

Vous trouverez l’option « Placer la surface sur le lit » dans le menu Modifier. Méconnue, cette option est beaucoup plus simple que de tenter de trouver les bons angles pour poser la pièce sur le lit. C’est simple, une fois l’outil activé, il ne vous reste qu’a choisir la surface (triangle) que vous voulez coucher sur le lit.

Voici le modèle original qui doit être retourné sur le coté pour éviter les supports et s’assurer d’un bon rendu.

stl original

Je vais donc dans le menu Modifier et je choisir Placer la surface sur le lit. Par la suite je clique sur la surface désiré. Dans ce cas ci, n’importe quel triangle du coté.

voir le triangle sélectionné en gris

La pièce ce placera automatiquement sur le coté.

résultat final

Il ne vous restera plus qu’à la centrer si vous le voulez.

L’importance d’avoir de bonnes températures

Avec le PLA et l’impression de grande pièce la température a moins d’importance, car le filament a le temps de refroidir entre les passage. Si vous avez des petites pièces en angle ou avec un pont, l’importance d’avoir la bonne température et un bon refroidissement sont capital. Vos couches du dessus ont tendance à descendre?? Le truc c’est d’utiliser la température quelques degrés au dessus du point ou le filament a de la difficulté à s’extruder. Certain filaments ont des températures recommandé par le fabricant entre 190 et 220°c. A son maximum de 220°c le filament coulera très facilement, pour les grande impressions rapides c’est bien. Mais pour les petites pieces… pas mal moins, le filament aura tendance à rester mou plus longtemps. Avec le même filament à 195°c et une vitesse d’impression plus lente… l’impression des petites pièces sera parfaite.

Avec l’ABS, il faut travailler en température plus haute pour éviter le délaminage. En plus d’avoir besoin d’un lit chauffant à 110°c pour éviter le décollage du lit. Il est très recommandé, voir obligatoire, d’avoir un caisson fermé pour l’impression. Le moindre courant d’air fait délaminer les impression. Le boîtier peut avoir un autre utilité, le filtrage des vapeurs toxiques de la fonte de l’ABS.

Le PETG, c’est le petit frère, vous savez le deuxième de famille, pas le bébé, ni le plus vieux des enfants. Il demande une température d’extrusion dans les alentours de 235 °c et un lit entre 70-80 °c avec peu ou pas de ventilation. Il a tendance à aimer les températures plus hautes que plus basses. Mais encore là il faut pas utiliser n’importe quoi.

Note: avant de vous lancer un nouveau filament, peu importe celui-ci. Prenez le temps de regarder les spécifications recommandées du fabricant. Il y a toujours des variations due à l’imprimante et à l’environnement, mais ça reste la meilleure base pour partir.

Les extrudeurs

Le bowden (comme les Creality et beaucoup d’autres)

image creality3d.cn

Le moteur et l’extrudeur sont séparés par un tube de téflon (ptfe). Son avantage principal est ça légèreté. Les moteurs n’ont pas à bouger le moteur de l’extrudeur qui est fixé sur le cadre, sauf dans le cas d’un moteur d’extrudeur flottant (ce qui est peu utilisé). Son désavantage est son tube de ptfe. Il ce crée un effet de retour soit à l’extrusion ou à la rétraction.

À prise direct ou direct drive (comme celui de l’anet a8)

image aliexpress.com

L’avantage de cet extrudeur est la courte distance entre le moteur et l’extruder lui même. Ce qui lui permet d’avoir un plus grande facilité à imprimer des filaments flexibles. Par son poid, il a une plus grande inertie, donc plus difficile à bouger ou à changer de direction.

À engrenages ou geared extruder (comme celui des Lulzbot)

image Lulzbot.com

Son avantage en est un de force. Surtout utilisé pour les filaments 2.85 ou 3mm qui sont plus difficiles à tirer. Son utilisation avec les gros filaments, compense pour ça lenteur. Comme le moteur est démultiplié, s’il est poussé trop vite (comme dans le cas d’une rétractation de 70 ou 80mm/s), il peut manquer des pas.